Marianne a obtenu une maîtrise en physique théorique en 2022 à l’Université Laval. Sa recherche portait sur la modélisation analytique et numérique de particules de type axion (l’un des hypothétiques constituants de la matière noire) dans certains types d’étoiles. Elle souhaite maintenant utiliser son expérience en résolution de problèmes et en programmation afin d’étudier des phénomènes plus concrets, comme les interactions complexes impliquées dans la modélisation des maladies infectieuses, pour ainsi avoir un impact plus direct sur la société et son bien-être.